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Steve McQueen,

By / Par Benjamin Deneuféglise

 

Une oeuvre en deux parties :

1ère partie - Steve McQueen will die

Durée : 12m12, Langue / Langage : Anglais / English

Sous-Titres / Subtitles : Français / French

 

            Bullitt (incarné par Steve McQueen), flic mélancolique, mène une enquête semée d’embuches lorsqu’il reçoit un appel téléphonique. Son interlocuteur l’appelle Steve McQueen et lui répète qu’il va mourir. C’est alors que Bullitt est troublé par d’étranges réminiscences dans lesquelles il ne cesse de se voir mourir… Sont-ce des souvenirs d’autres vies ? Ou, est-ce son avenir proche ?

« Un film méta sur Steve McQueen, l’humain hyper-vivant fauché par la mort, à cinquante ans, et qui n’a pourtant cessé de mourir dans sa filmographie, tout en incarnant une mélancolie étrange combinée à une rage de vivre… Â»

LE MOT DE L'AUTEUR

 

«  Une piste importante pour comprendre le dyptique :

            «   Le cinéma permet véritablement de partager avec plusieurs personnes, à un moment donné, des pensées et des propositions. C’est un rêve collectif, un voyage dans un autre monde, un regard sur les réalités, ou le pouvoir de ressusciter des connaissances oubliées. Â»  - Johanna Vaude

           

J’ai essayé de faire le deuil impossible de ce gars qui restera l’un des types les plus vivants et humains que j’ai connu à travers les grands et petits écrans. Plus fort que le mouvement de ces images… Intemporel, impérissable… Immortel grâce au cinéma et à ses images qu’il a su dompter.

          

                                                                        Bien, à vous,

 

Benjamin Deneuféglise. Â»

2ème partie - Steve McQueen is dead

Durée : 10m13, Langue / Langage : Anglais / English

Sous-Titres / Subtitiles : Français / French

 

            Steve McQueen, qui c’est ou plutôt qu’est-ce que c’est ? Cet acteur américain incarne la contre-culture, bientôt 35 ans après sa mort.

            « Ã€ coup d’affiches, d’extraits, de musiques, de remontages, de pensées d’amis et autres personnes, j’ai essayé de dresser un portrait humain de Steve McQueen, dont le statut d’icône a justement souvent effacé son existence d’être humain. Â»

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